mardi 16 décembre 2008

Fin de règne

Je ne reviendrais pas sur cette image qui a fait le tour du monde car elle a été diffusée maintes et maintes fois. Mais tout de même je m'interroge sur cette fin de règne où l'on voit le président de la première puissance du monde recevoir une chaussure en pleine face... ou presque, puisque Bush a au moins une "qualité", celle d'esquiver les projectiles. L'image m'a amusé je dois le reconnaître même si dans le fonds elle est "condamnable". D'après ce que j'ai lu, cet acte est la signification d'un mépris envers la personne qui reçoit... ou pas (tout dépend de la vitesse de la chaussure et de la capacité d'évitement de la victime (?) - encore que je m'interroge sur le côté victime de l'affaire. Le message est clair, universel. Par ailleurs je n'ai aucune espèce de sympathie pour une personne qui se comporte en colonisateur et moralisateur "je suis le plus grand, le plus beau, le plus fort tremblez", donc ce geste n'est pour moi que la conclusion d'une administration impopulaire et calamiteuse. C'est sans doute la dernière image qu'il restera de George W. Bush.

Normal de recevoir des grolles pour quelqu'un qui a toujours été à côté de ses pompes (elle n'est pas de moi et je le regrette).

2 Avis intrépides:

Anonyme a dit…

oui, fectivement, balancer une pompe dans la tronche de qq signifie qu'on le traite de traître.. ceci dit, le balanceur n'a pas vraiment tort.. on peut pas dire que l'autre "dieu du monde" a été "logique".. c'est facile d'envoyer des personnes faire la guerre.. qd on a le cul confortablement assis et qu'on risque pas de balle..
bonne journée à toi :)

ma vie intrepide a dit…

Je suis d'avis que le balanceur n'a pas tort car c'est le retour de bâton (ou de godasse dans ce cas de figure) pour quelqu'un qui a méprisé tout un peuple (je me souviens de Bush vantant la civilisation Mésopotamienne en ne sachant pas qu'il s'agissait de l'actuel Irak !!!).

Comme je l'ai souligné : je n'ai aucune sympathie pour un dirigeant qui se comporte comme un colonisateur, en l'occurrence Bush.