Affichage des articles dont le libellé est Blogueries en tout genre. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Blogueries en tout genre. Afficher tous les articles

vendredi 18 août 2023

Farewell to Dublin

D'aussi loin que je me souvienne j'ai été attirée par l'Irlande, cela étant  certainement dû en à la mythologie celte. J'étais la passionnée de la famille, le rat de bibliothèque qui se mettait en retrait par timidité pour compulser de manière irrépressible la collection des "Tous l'Univers" que mes parents possédaient dans leur bibliothèque - 18 ou 24 volumes je crois. Je synthétisais tout et n'importe quoi sur mes pages quadrillées que j'arrachais de mes cahiers d'école, de l'histoire du Royaume de Suède aux combats de la première guerre mondiale, en passant par les Vikings, la Mésopotamie ou la Grèce Antique. Et l'histoire des celtes aussi, que j'aurai à potasser bien des années plus tard pour le concours d'entrée à l'école du Patrimoine, que je n'ai finalement pas passé, sans doute à cause de contraintes matérielles. 

Aussi quand nous avions opté pour la destination finale de nos vacances mon amoureuse et moi, nous avions sélectionné Edimbourg, un clin d'œil à un de mes récits où j'avais parlé de cette ville sans y avoir mis un fichu pied, ou la capitale de l'Irlande, Dublin. Connaissant très, et trop bien, Berlin nous nous sommes mises d'accord pour remettre la visite de cette dernière à une autre fois. 

Dublin ne se livre pas tout de suite à vrai dire. Le charme agit certes, mais ce n'est pas un vrai coup de foudre comme la fois où j'ai atterri sur la piste de l'aéroport de Berlin-Schönefeld. On tombe amoureuse de cette ville et de ses habitants de manière un peu plus subtile. Sans doute les attentes avaient été trop hautes et j'espérais être éblouie instantanément. 

De fait, au bout de deux jours seulement, après des visites à marche forcée et mes salutations au Trinity Collège, celui-là même qui avait vu sur ses bancs l'un de mes auteurs préférés, Oscar Wilde, j'ai dû me rendre à l'évidence que cette ville est un écrin. Voici donc pêle-mêle mes ressentis, qui ne sont bien entendu plus que subjectifs. 

Tout d'abord, ce n'est pas une grande ville à proprement parler. Le centre est accessible facilement à pieds et, si on est fatigué et/ou fainéant, rapide en transports en communs lorsqu'on est un peu excentré comme nous l'étions - 20 minutes. Deux lignes de tramway au prix peu excessif de 22 euros de manière illimitée durant toute une semaine, soit le temps de nos vacances. La green line et la red line, le tramway donc, bien plus élégant et neuf que celui de Bruxelles, des bus à deux étages typiques des pays anglo-saxons - des doubledeck bus, mais pas de métro. C'est assez étrange pour une capitale mais c'est à noter. Que dire de nos journées ? 

Elles ont bien été remplies. C'est un fait. 

Il fallait choisir entre les nombreux musées et le choix était cornélien. Dublin est une capitale riche d'histoire et de culture. Il y a à faire, c'est certain, pour qui veut passer des vacances autrement qu'en bouquinant sur la plage, se dorer la pilule au soleil du sud ou en jouant à une partie de beach-volley. Cela peut avoir son charme, jusqu'à un certain point à mes yeux. J'ai été, et je reste adepte des vacances où l'on s'immerge dans la culture d'un pays et de ses habitants plutôt que du farniente total et de la bronzette orange carotte. 

Pas de tour en bus, ni de visite de Guiness ou de Teeling (le whisky) et Jameson : ce sera pour une autre fois, mais une visite à pieds avec un guide touristique dans la langue de Molière qui au final ne m'aura pas vraiment appris grand chose. Les meilleures visites ont de fait été celles que nous avons faites sous le coup de l'impulsion et non préméditées, comme la National Gallery of Ireland, immense avec ses 54 salles - une demi-journée suffirait à peine pour tout voir, ou encore la long room du Trinity Collège, malheureusement vidée à moitié de ses livres mais qui fut une claque pour moi. Je me souviens avoir exprimée à voix haute mon émerveillement à deux reprises : "C'est magnifique". Dans le quartier des Liberties, la Cathédrale de Saint-Patrick, qui contrairement à ce que l'on s'imagine n'est pas la cathédrale officielle de Dublin*et que l'on a parcouru durant plus de deux heures, pour le clin d'œil au Saint-Patron de l'Irlande et où on y a pu dégoter deux anneaux de Claddagh. Le Epic, ou musée de l'immigration, valait également le coût de la visite, pour l'histoire de l'Irlande, de ses flux migratoires et de l'influence de ce pays à travers le monde. Si l'on y réfléchit bien, l'Irlande a produit un nombre impressionnant d'artistes, chanteurs, dramaturges (4 prix Nobel de littérature tout de même !). D'ailleurs cela transcende chaque recoin de rue de Temple Bar ou Grafton Street, zone névralgique et commerçante, mais moins que la longue O'Connell Street - petit aparté : O'Connell est la rue par excellence des magasins de souvenirs**. Grafton Street est certainement la rue qu'il faut emprunter si on est sensible à la musique folk ou rock. Les musiciens affrontent sans se démonter le regard blasé des locaux et de touristes en continuant à chanter envers et contre tous. Et, bon sang de bois ne saurait mentir, le nombre de damn good singers que j'ai eu l'occasion d'entendre ! C'est dans leur sang, ce gène de la musique qui se transmet ainsi de générations en générations.

Un petit bémol toutefois, le MoLI ou musée de la littérature irlandaise, ou ne devrait-on pas plutôt le rebaptiser le musée James Joyce ? Je m'attendais à ce que toute la littérature y soit représentée (Bram Stoker, Oscar Wilde, Edna O'Brien et j'en passe) et pas juste survolée, et non cette omniprésence de Joyce ainsi que la sous représentation de la littérature féminine. Cela dit, au dernier étage, chaque visiteur peut si l'envie lui prend, accrocher une petite pensée sur un mur en ardoise. Est-ce que le mien est encore visible après une semaine  ? Telle est la question mon cher Watson. En tous les cas, mon petit mot était quelques lignes de mon cru portant sur la littérature et l'imagination. 

Il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur Dublin mais ceci fera sans doute l'objet d'un nouveau voyage. Sans doute les ressentis de mon amoureuse n'ont pas été les mêmes. Je sais qu'elle a aimé le retour au passé au 14, Henrietta Street alors que j'étais  un peu déçue. Comme dit plus haut, il faudrait y retourner et enfin goûter la bière nationale suite à un de ces Guiness tours dont les étrangers sont si friands, et non pas dans un pub. On pourrait également parler de l'indélicatesse des voisins de chambre qui ont cru être seuls au monde. Je vous laisse imaginer le type d'indélicatesse que nous avons eu à nous farcir avant que l'on donne des coups secs mais fermes dans le mur pour leur souligner qu'ils n'étaient pas seuls et que tout le monde pouvait les entendre. Quelle santé !
 
En guise de conclusion, ce que j'aimerai mettre en avant, c'est l'extrême gentillesse et politesse des dublinois. Notre chauffeur de taxi aurait pu éructer, voire insulter la cycliste qui zigzaguait entre les véhicules sans marquer ses intentions, mais il s'est contenté de lui notifier que cela aurait été plus clair pour tout le monde de le signaler de la main, de manière neutre, sans hausser la voix. Spectacle étonnant quand l'on constate l'énervement continuel à Paris, où autre grande métropole, entre les voitures et les deux roues.  Et surtout ce sentiment de se sentir en sécurité partout où nous allions à n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit. 

Et, pour l'anecdote, des français. Beaucoup de touristes français. Un incalculable paquet de touristes français dès que l'on se retournait, à droite, à gauche, devant et derrière. Bizarrement également, pas mal de portugais et/ou brésiliens dont l'accent à mes oreilles me faisait sourire inévitablement.

Bref, Dublin n'est pas une ville où le soleil prédomine - il faut s'attendre à de la pluie qui vous chope sans vous prévenir, mais c'est une capitale qui vaut le détour pour peu que l'on préfère des vacances en toute immersion et en toute curiosité. 

N.B. les Irlandais mangent tôt (genre 18h). Bon a savoir quand on arrive dans un restaurant après 21h et que l'on vous dit que les cuisines sont fermées. Par ailleurs le wifi de Dublin est nickel (pas comme celle de Bruxelles) et, tenez-vous bien, les toilettes ne sont pas payantes !!



* Christchurch est la cathédrale officielle de la religion catholique, à dix minutes  à pieds à peine de Saint-Patrick.

** Caroll Irish Gifts : où après avoir adopté un Bernard, Berlin bear emblème de Dublin il y a 5 ans, j'ai ramené son petit modèle dublinois, un Bernie bear de poche 

 

lundi 9 avril 2018

Nous reprenons l'antenne

Je ne dépose pas le bilan, non, mais j'avoue qu'en un an, voire plus, il s'en est passé des choses dans ma petite vie de lilloise presque quinqua.

Et non des moindres.

A moi le métro, plus de trains. Et qui dit trains, dit pas de grèves, pas de mécano victime de la panne d'oreiller, pas de retards intempestifs dûs à ... la liste est longue, vous pouvez la remplir à l'infini. 

J'ai donc quitté des collègues attachants, qui s'étaient attachés à cette collègue atta-chiante que j'étais. Et en fanfare qui plus est. Il y a des photos qui circulent sur mon kidnapping et mon arrosage de départ.

Depuis septembre de l'année dernière, je suis donc passée de l'eau aux vêtements. Pour résumer, j'ai changé de travail. Et qui dit nouveau travail, dit nouveaux collègues, nouveau fonctionnement, nouvel apprentissage. Parce que oui, j'apprends plein de trucs en ce moment, des trucs de ouf ! Bref, j'ai de nouveau repris le goût de "travailler en m'amusant et m'amuser en travaillant.

Autre nouvelle importante, bien plus triste celle-là : ma vieille grand-mère, la ronchonne Luna qui grognait toujours, quand elle n'était pas contente, ni même quand elle était contente, nous a quitté brutalement. Du même mal que Charlie et Oscar. Elle aura survécu à son compagnon Enzo d'une année. Je me souviens encore comme si c'était hier de leur coup de foudre mutuel. Jamais cohabitation entre lapins n'a été aussi rapide, en tous cas chez l'Intrepide. Désormais elle court dans les champs de carottes avec son amoureux. Du coup nous restons à trois : les deux plus jeunes lagomorphe et leur humaine de compagnie, occupée à faire du rabitt-nursing depuis 10 jours.

Et puis un an, c'est aussi le temps de partager des bons moments entre amis, des soirées en terrasses à re(dé)faire le monde, de continuer à cuisiner des bons petits plats entièrement végétalisés, de découvrir de nouveaux endroits, prendre des clichés de l'instant, mais également voir le désir d'écriture se faire moindre. Même si, en définitive, l'écriture est et restera ma plus grand histoire d'amour.

Alors, je  ne vous dis pas rendez-vous dans 10 ans. Comme je l'ai dit précédemment, je reviens.

Quelques esquisses sont déjà prêtes dans mes cartons.

See you soonest than you think.

mercredi 21 mars 2018

Reprise des programmes

Je reviens prendre possession des lieux.

Je n'en ai pas fini avec vous ni avec moi....

samedi 21 avril 2012

Reset

Car c'est bien la moindre des choses que de procéder à un reset de ce blog après si long silence (sic). Je reviens donc, avec de meilleures nouvelles et, enfin, le sentiment que les choses se mettent à bouger. Avec un nouveau boulot à la clé, en espérant que celui-ci perdure. Des notes écrites dans le train, le meilleur moyen pour passer le temps. Et aussi lentement, mais sûrement, une conversion au végétarisme. Donc, ne quittez pas la ligne, nous allons reprendre la communication. Le temps d'attente est de....

dimanche 21 août 2011

Blogueur né

Inspired by Boubou (à qui je remets mon devoir une fois de plus très tard : j'crois que je suis bonne pour deux heures de colle).

Je ne saurais pas vous dire quand exactement je suis devenue accro /mordue /lectrice régulière de blog (barrer la mention inutile), mais je saurais vous dire quel(le)s sont ceux qui m'ont donné l'envie à mon tour de créer le mien.

J'y suis venue sur le tard. Quand déjà ce n'était plus vraiment la mode mais, après tout, la mode c'est quoi ? On s'en fout, moi en tout cas. A l'époque, j'étais du style à fréquenter les forums et pas qu'un peu ni qu'un seul. J'affectionnais réellement ces lieux d'empoignades hautement fréquentables qui m'ont apporté mon lot de rencontres enrichissantes. Je naviguais grosso modo entre une bonne demie-douzaine de forums, la plupart consacrés à la littérature. Sauf un. Et c'est évidemment grâce à celui-là que mon aventure bloguesque a pris son envol. Après, vous dire de quel point de départ tout ça s'est débloqué, c'est une autre paire de manches.

Ce forum donc, grossissait à vue d'oeil. 6000 membres au compteur. A l'intérieur, une section appelée "la bibliothèque", virtuelle bien sûr, où ceux qui aimaient écrire comme moi pouvait poster des histoires. Je me suis donc remise plus sérieusement à une passion que j'avais plus ou moins mise de côté. Cette bibliothèque a sans doute été la première marche vers mon addiction aux blogs. Il me fallait un autre support pour m'exprimer ; un format plus interactif et réactif. Je ne voulais plus me contenter de scribouiller des millions de pages dans mon coin (soit, j'exagère un chouïa).

La deuxième marche est liée à une personne en particulier. Je ne sais pas si elle me lit, auquel cas je serais paralysée par le trac... mais sache en passant que tu es une des personnes que j'admire le plus au monde. Et il y a très peu de personnes que j'admire ici-bas.

Mademoiselle Artefact, j'ai un aveu à te faire : je suis terriblement jalouse de ton talent d'écriture. Tu ne postes que très peu, voire presque plus... Non, ceci n'est pas un message destiné à te faire reprendre ta jolie plume ni tes quartiers d'été, car je sais que tu es très occupée, mais ce serait bien que tu ne laisses pas les mauvaises herbes envahir ton jardin virtuel. J'dis ça en passant, l'air innocent à deux balles - tu me connais, n'est-ce pas ?

Voilà, pour répondre à ta question, Boubou. Je pourrais certes rentrer dans les détails ; je pourrais également lister ceux et celles qui m'inspirent mais ce serait non exhaustif car, bien sûr, comme tout le monde, j'ai cliqué à gauche puis à droite, et encore à droite pour aller tout droit : et voilà, j'y étais dans le grand bain de la blogosphère.

Et après ?

Et après j'ai écrit quelques billets qui ont eu écho, tout au moins je l'espère, et j'ai rencontré des gens bien. Je continue à poster des trucs inintéressants... enfin, je fais en sorte de continuer mon petit bonhomme de chemin.

jeudi 30 juin 2011

Spamme a lot*

cher(e) Membre,





1. Dans le cadre de l’installation définitive du nouveau Gmail® en vue de la protection de nos membres utilisateurs des messageries Gmail®, yahoo®, hotmail ,orange etc... contre les SPAMS, nous envisageons la clôture de tous les comptes inutilisés. Nous serons obligés de fermer votre compte afin de permettre la décongestion de notre réseau. Pour confirmer l'authenticité de votre adresse Email, veuillez remplir correctement le formulaire ci-dessous.  A défaut de cela, votre compte Gmail® sera supprimé de façon définitive et irrévocable.  
  
           * Adresse de messagerie: Gmail®, yahoo® ,hotmail ,orange® :.........................
          * Mot de passe:.....................................
          * Nom et Prénom:..................................
          * messagerie de secours:.....................
          *pays ou ville :.................................
         
2. Confirmer votre mot de passe et votre adresse de messagerie 
Gmail®, yahoo® ,hotmail® ,orange, en nous transmettant les informations demandées en réponse à ce message dans un délai de 72 Heures. Passé ce délai, nous ne serons pas à mesure de garantir la préservation de votre adresse de messagerie.
3. Cette requête nous permettra de répertorier votre adresse de messagerie afin de ne pas la perdre lors de l’expiration du précédant service de Gmail®, yahoo®, hotmail® ,orang
4.Vos données seront traitées de façon confidentielle et vous pourrez par la suite continuer sur Gmail®,yahoo®,hotmail®,orang  Avec le tout nouveau Gmail® ,yahoo® ,hotmail®,orang !  vous pouvez : 
 Avoir un aperçu rapide de vos messages dans le panneau de lecture. Organiser facilement votre boite grâce à la fonctionnalité glisser/déposer des mails vers le dossier de votre choix. Afficher plusieurs mails en même temps. Avec les onglets, vous passez en un seul clic d'un message à l'autre.Recevoir instantanément vos nouveaux mails sans avoir à actualiser votre navigateur. Mail et Messenger réunis : Discutez en direct ou par mail (bientôt disponible) Et toujours, accédez à votre mail quand vous voulez, où que vous soyez même avec votre mobile.
L'équipe Gmail®, yahoo® orange®, hotmail®.                                                          Service Clientèle



Voilà la teneur du message que j'ai reçu cette nuit et encore aujourd'hui (des fois qu'au deuxième envoi, je tombe dans le panneau !). On y croit avec ces couleurs bariolées et cette requête plus que douteuse : me demander mon mot de passe pour une boîte mail que, soit dit en passant, j'utilise au minimun une fois par jour. J'attends donc le délai de 72 heures (Mon Dieu, j'ai peur) pour voir ce qui va arriver... ou pas. Enfin, si ceci n'est pas du tout un spam, je vous dis... euh, à l'année prochaine si tout va bien ?
Bon, trêve de plaisanterie, ce spam reçu à l'insu de mon plein gré a eu au moins le mérite de me faire rire, et de me donner l'occasion de pratiquer un de mes sports favoris : le jeu de mots – pourri sans doute, en pastichant les Monty Python*. Hormis le rappel, régulier, que mon compte paypal n'est plus mis à jour et que ma carte a expiré (ah bon ?), avouez que ça a quand même plus de gueule que les éternels mails me désignant comme légataire universelle d'un riche nabab qui a besoin de moi pour sortir son pognon du pays, ou encore me demandant si je veux « enlarge my penis » (attends je vérifie, à la recherche de la culotte perdue... ou là la, je prends des risques : j'vais attirer des requêtes bizarres moi) ou , enfin,  si je veux acheter du viagra (les effets secondaire que subit les Samantha dans « Sex and the city » ont-ils été testés cliniquement et approuvés ? Hein, quelqu'un peut me répondre svp ?
Et sinon, si une détentrice de boîte Gmail passe par là, suis-je la seule à avoir été prise pour cible de ce poisson d'avril après l'heure ?
A vot'bon coeur m'sieurs dames.

jeudi 16 juin 2011

Jeudi c'est philo...

... Enfin bon, j'en profite qu'aujourd'hui a eu lieu la première épreuve du bac, c'est à dire la philosophie, pour vous proposer* de plancher sur un sujet de mon crû : "Un demi-mensonge vaut-il une demie-vérité ?". Laissez votre imagination et votre créativité faire le reste. Peu importe le support. Peu importe l'angle d'approche : l'important c'est de participer. Vous avez jusque fin juillet pour  m'envoyer vos textes, images etc,  à l'adresse habituelle : ma.vie.intrepide@gmail.com. Date à laquelle tout sera publié ici. Publié et soumis au vote. 

Alors, saurez-vous me dire si vous serez l'heureux gagnant(e) ?

De mon côté, je ne chôme pas : j'écris beaucoup dans le train, je lance des mots, des notes, des réflexions ; je prends des photos. Et bientôt je ne tarderais pas à les poster au fur et à mesure.



* J'en profite pour solliciter la plume de Sophie-la-cafetière qui, si je ne m'abuse est devenue bloggueuse free-lance.





samedi 22 janvier 2011

Faire part de naissance*

Etant une insomniaque invétérée, infatigable, fatiguée et fatigante (parfois), je ne peux décemment pas me coucher avant de zapper une dernière fois afin me mettre ma conscience en règle, des fois que je louperais quelque chose nuitamment (une phrase à la con, certes, mais je la laisse telle quelle). C'est ainsi que je suis tombée sur un mini-reportage sur une des deux chaînes belges - je suis limitrophe, enfin pas moi mais le département. "No limit" parle du web, rien que du web. C'est comme ça que, poussée par la curiosité, j'ai moi aussi  cherché ce qui avait fait les choux gras dans les infos le jour où je me suis décidée à jeter un pied dehors. Le dernier reportage traitait en effet  de l'Ina qui met à disposition les documents sonores, ou vidéos, du jour de votre naissance. Manque de pot, étant née avant 1971, je n'ai pas eu droit au journal télévisée - en noir et blanc, forcément, mais à un portrait de Georges Pompidou himself. Enfin une inteview plus précisément . Pas très glamour tout ça.



    retrouver ce média sur www.ina.fr

Du coup, comme j'ai voulu relever le niveau sexy de la chose, j'ai googlé à la recherche d'événements plus intéressants, ou tout au moins plus fun. Le 14 mai 1969 c'était ça :

Promulgation du "Décret 69-189 du 14-05-1969, portant réglementation des Etablissements pénitentiaires et fixant les modalités d’exécution des peines privatives de liberté". Gloups, nom de Zeus : on avait dit plus sexy !!!

Heureusement, cette jolie actrice naissait le même jour : 


 (Cate Blanchett pour les z'ignares).

A la radio, ça donnait ça : 
(Le père d'Ophélie Winter) 

et outre manche, ça rockait comme ça : 
En France, les "100 fusils" cartonnait au box office











Et "The mad room " aux USA (deux films inconnus à mon bataillon cinématographique) :












Je vous l'avoue, l'exercice est moins facile qu'il n'y paraît parce que j'ai beaucoup cherché avant de trouver ces quelques résultats. Du coup, je vous mets à contribution (c'est une manie chez moi). La question du jour est donc :

Et vous, que s'est il passé lorsque vous avez poussé votre premier cri (voire les suivants) ?


* Bon, j'ai eu du mal avec le titre de ce billet et j'ai longtemps hésité.

lundi 25 octobre 2010

Petites choses inavouables

Puisque j'ai été tagué par miss Jouflette, il y a quelques temps (et j'en profite pour te souhaiter à nouveau un joyeux anniversaire – jamais 2 sans 3), je vais donc me plier de bonne grâce au sujet du jour, c'est-à-dire vous livrer 5 choses inavouables sur moi. L'exercice risque d'être difficile étant donné que je suis un être parfait, ha ha ! Et comme je suis généreuse, je vous en livre 6. Profitez-en : c'est les 25 jours Auchan.
- Il m'arrive de mentir par réflexe ou par paresse. Pas sur des choses essentielles, mais j'ai tendance à biaiser la réalité quand quelque chose ne me convient pas. Reste à savoir si mon interlocuteur croit à mon bobard, ce qui est une autre paire de manches.
- Je suis de mauvaise foi, un peu, beaucoup. Parfois quand je dis non alors que l'autre dit oui, il faut qu'on me mette le nez sur mes erreurs noir sur blanc pour que je reconnaisse du bout des lèvres m'être plantée. Et encore, je serais capable de continuer dans mon entêtement. Que voulez-vous : je suis une bête à cornes ascendant bêtes à cornes !
- J'ai eu un tas de dégaines impossibles des pires aux moins pires et cela, depuis mon adolescence. Tout y est passé, fringues comme coupe atroces. Côté coupe je me souviens d'une tête à la Tintin sans son Milou qui ne m'allait, mais alors pas du tout. Côté fringues, des vestes deux fois trop grandes pour moi. J'en passe, le pied de poule et les vestes à la Mylène Farmer. Bref, comme on dit, je me suis longtemps cherchée (jusqu'à l'âge révolue de 30 ans bien sonnés tout de même). Bizarrement, j'ai tenté le look militaire 20 ans au moins avant qu'il ne soit vraiment à la mode. Un de ces jours, faudrait que je vous parle de mes looks successifs. Message personnel pour misses Chimères et Pop's : je n'ai pas le look punk même si je reste médiéviste. Je suis ce qu'on peut qualifier de classique.
- J'ai fouillé dans les affaires d'un ex, à la recherche de la preuves accablantes. Je sais, c'est pas bien. J'en suis pas spécialement fière, mais quand la passion se mêle aux doutes et à la déraison, ça vous entraîne loin ces choses là. No more comment.
- Je déteste jouer aux jeux de société, non pas que je n'aime pas ça, comprenez-moi, mais je déteste perdre tout court. C'est triste mais je fais la gueule quand quelqu'un ose me damer le pion aux dames, aux échecs ou tout autre jeu qui implique plus d'une personne. J'engueule même mon ordinateur si le résultat ne me plaît pas. Je me trouve des excuses minables genre « je suis pas en forme », « je suis pas concentrée ». Par contre, le pouilleux massacreur, j'dis pas – pour mon côté sadique, limite serial killer.
- Je gagatise devant mes lapins. Je leur parle comme à un être humain. Vous voyez les mémés avec leur chats ou leur chiens ? Et bien moi pareil, je vous laisser imaginer les scènes.

En dehors de ça, je suis quand même charmante et civilisée. Je pourrais même vous demander combien de sucres vous voulez dans votre thé. Et sinon... et bien, j'ai un peu triché car j'ai des choses bien plus inavouables que cette liste mais, je ne suis pas folle, vous savez ?
Voilà j'espère avoir honoré le contrat et, comme il se doit, je désigne à mon tour trois autres victimes (le retour de la vengeance du serpent à plumes) : Boubou, Pop's, Pucca (bizutage pour les deux dernières, Boubou, parce que j'aime bien te taquiner).






mercredi 1 septembre 2010

Enterre moi si tu peux*

Dans mes pérégrinations bloguesques, je suis tombée sur ce site. L'idée en soi n'est pas idiote : faire le deuil de son blog, laissé à l'abandon comme une mauvaise herbe qu'on a oublié d'arracher (j'ai failli dire napalmer - voir billet ci-dessous mais mon obsession pour les répliques de cinéma, dont Apocalypse Now va tourner au syndrome de serial writer : y a t'il un psy dans la salle ?). Un enterrement en grandes pompes funèbres avec l'emplacement des allées, les numéros de caveaux,  à l'image du Père Lachaise par exemple. Le seul problème, c'est que ce site qui a pour but de recenser les blogs à l'abandon semble lui même... à l'abandon !

Si vous aussi, vous êtes tombé(e)s sur des sites surprenants, drôles ou complètement bizarres, allez y, linkez-moi** dans vos commentaires.

* Ceci est bien entendu un détournement éhonté de titre d'un film de Steven Spielberg. Alors, on sèche ?
** De feu le groupe Linkup. Qui s'en souvent encore ? Ah si, flûte : moi.

samedi 21 août 2010

En chantier


A défaut de refaire la déco de mon appartement, j'ai eu une furieuse envie de relooker mon chez moi virtuel. Il faut dire qu'en ce moment j'aime à traîner dans les grandes surfaces de bricolage, en comparant les peintures, en bavant presque sur les outils que je dois prendre pour commencer ce chantier. A défaut de m'y mettre sérieusement donc, vu que je ne suis pas très douée pourtant pour ce type de travaux, j'ai décidé qu'il était temps de changer. Je vois mal d'ailleurs la Damidot, son équipe et ses couleurs flashys envahir mon espace et maroufler à tout va. Je préfère opter pour la sobriété et l'élégance. En plus, ça tombe bien, j'adore tout ce qui a trait à l'Asie.
C'est pas que j'aimais pas l'ancien modèle, non mais, comment dire... celui ci commençait à me sortir par les yeux. Et comme dirait Kim dans « Sugar Rush » : « Ce qui est merveilleux avec les femmes, c'est qu'elles ont le droit de changer d'avis ». Ce besoin de changement, je le ressens à tous les niveaux. Je suis dans une bonne phase : espérons que ça dure.
Pas de panique à bord. Je suis bien au contrôle. Ce n'est que la première couche. Je vais changer quelques liens, faire le ménage, épousseter les coins et les recoins. Le reste suivra ces prochains jours. J'ai plein de brouillons qui attendent. J'ai commencé à plancher sur ton sujet, Joufflette. J'attends le tien Kmouth. J'ai hâte de me plonger dans le tien, Boubou. Entre deux, me permettrez-vous que j'insère des petits trucs de mon cru ?







dimanche 13 juin 2010

On se fait une toile ?


Voilà, voilà, avec beaucoup de retard - on va mettre ça sur le décalage horaire, voici donc les réponses au ciné quizz. Bravo en tout cas à vous d'avoir participé car, quand on y songe, ce n'était pas un quizz évident. 
 

 Réponse 1 : il s'agit bien entendu de « la cité de la peur » de Alain Berbérian, que j'ai vu un nombre incalculable de fois, par ailleurs sans doute la réplique la plus percutante du film. Pour ma part, j'ai tendance à caser celle du « serial killer ». Bon nombre d'entre vous sont tombé(e)s dans le piège en me donnant les Nuls comme réalisateurs. Et non ! S'ils sont bien à l'origine du scénario, c'est bel et bien Alain Berbérian qui est derrière la caméra. Les principaux protagonistes sont Alain Chabat, Chantal Lauby, Domique Faruggia et Gérard Darmon dans le rôle du flic qui propose les deux doigts de whisky.

Réponse 2 : j'adore cette scène et l'air ahuri de Catherine Frot quand elle prend son cadeau pour une laisse de chien. Scène tirée de « Un air de famille » de l'excellent Cédric Klapisch dont je recommande par ailleurs « chacun cherche son chat ». Un air de famille compte également Jean Pierre Baccri, Agnès Jaoui, Wladimir Yordanoff (dans le rôle du mari) et l'impayable Jean Pierre Darroussin.

Réponse 3 : encore une scène culte parmi les dizaines dans « Bridget Jones, l'âge de raison » de Beeban Kidron avec René Zellweger, Colin Firth et Hugh Grant. Je pense également à celle où les deux prétendants se battent dans la fontaine ou encore celle de « like a virgin » dans la prison : j'en ris encore. J'ai hâte de voir ce que va donner le 3ème opus.

Réponse 4 : j'adore ce livre plutôt pas mal adapté à l'écran par feu Claude Berri. Cette réplique est tout simplement la première que lance notre héroïne Camille, alias Audrey Tautou avant que son voisin la recueille, malade car transie de froid – le génial Laurent Stocker (honnêtement, quand j'ai vu le film la première fois, je me suis dit « Philibert, c'est lui ! ») qui a un coloc, Guillaume Canet, enfin Frank, ours mal léché au grand cœur qui aime sa grand mère par dessus tout, Paulette, alias Françoise Bertin. La morale de ce joli film c'est que « Ensemble, c'est tout ».

Réponse 5 : c'est pas de ma faute si les extraits de ces films sont aussi cultes ! Encore une scène impayable où Maria Pacôme pète les plombs et envoie tout balader, y compris son fils, Vincent Lindon. Il s'agit bien sûr de « la crise » de Coline Serreau avec également une Michèle Laroque aussi dézinguée que les autres personnages tels que Patrick Timsit. Encore un film qui me fait mourir de rire quand il passe sur le petit écran.

Réponse 6 : Alors là, un vrai petit bijou de ce qu'on peut qualifier de cinéma indépendant américain. Si vous ne l'avez pas encore vu : louez le ! Volez le ! Il s'agit de « Juno » de Jason Reitman. Ce jeune homme sembla avoir autant de talent que son père et, de même, sait s'entourer en choisissant deux acteurs brillants : Ellen Page (regardez à l'occasion « Hard Candy », version très modernisée où le petit chaperon rouge n'est pas si gentil que ça...) et un de mes acteurs préférés : Michaël Cerra. Quand je vois son nom sur la jaquette, je n'hésite pas beaucoup. Jennifer Garner joue également dedans (ça nous change des fois où elle se déguise, ou se prend pour une super héroïne).

Réponse 7 : Encore un film de Cédric Klapisch, désolée ! Mais j'aime beaucoup « l'auberge espagnole » et son ambiance, ainsi que le suivant, « les poupées russes », qui suit nos personnages quelques années plus tard après le programme Erasmus à Barcelone. Chouette colocation. Scènes cultes avec le temps – citons par exemple celle où Cécile de France explique certaine choses à  Romain Duris de manière assez... entreprenante. Y participent également la rouquine Kelly Reilly, Audrey Tautou ou encore Judith Godrèche. Il faut dire aussi que « no surprises » de Radiohead y trouve grâce à mes yeux.

Réponse 8 : Scène culte. Film culte sur l'amitié hommes/femmes : est-elle possible ? Qui n'a jamais vu l'épisode du restaurant dans lequel Meg Ryan mime l'orgasme devant un Billy Crystal, qui ne sait plus où se mettre - le pauvre ! a dû tomber dans un trou noir lors d'une des multi-diffusions de « quand Harry rencontre Sally » de Rob Reiner. Non, toujours pas ? Et sinon, vous prendrez la même chose que la dame ? Dans ce passage juste avant le fameux mime, Meg Ryan se montre particulièrement pointilleuse lorsqu'elle passe une commande. J'en connais qui font pareils et, non, je ne balancerais pas les noms !

Réponse 9 : Plus le temps passe et plus j'apprécie ce film. Il faut dire que les anglais savent y faire en matière de comédies qui plus est romantiques. Il faut dire aussi que mettre Julia Roberts à l'affiche en star tombant amoureuse d'un petit libraire de Notting Hill a de quoi séduire surtout quand il est incarné par Hugh Grant. De toutes façons, dès qu'il y a un type un peu gaffeur, un peu charmeur et à chemise blanche, c'est Hugh qui s'y colle. J'aime énormément les passages où son drôle de colocataire crève littéralement l'écran, en slip, avec des T-Shirts douteux, ou portant des lunettes de plongées – Rhys Ifans. « Coup de foudre à Notting Hill » est signé par Roger Mitchell.

Réponse 10 : Une comédie française qui a cartonné ainsi que sa suite, dont il s'agit, « la vérité si je mens 2 » de Thomas Gilou qui s'y connaît bien en quartiers de Paris haut en couleurs (black mic mac). Le casting compte Richard Anconina, Vincent Elbaz, Amira Casar, Bruno Solo, José Garcia – impayable, Gad Elmaleh, Daniel Prévost et j'en passe...

Place aux gagnantes maintenant : Joufflette qui emporte le Jackpot en me citant à la fois les principaux acteurs, le nom du film et le réalisateur et qui, a fait un vrai carton plein... quand elle n'est pas au Stade de France, aux frais de la princesse, en VIP au concert de Muse, la chanceuse ! Elle est une des rares, si ce n'est la seule, à avoir répondu Alain Berbérian à la première question. Suit de très près Mamzelle Kmouth qui a failli coiffer Joufflette au poteau. Evite de me demander de coller le sujet que tu sais : je vais m'y coller, un jour ou l'autre ! Voilà les filles, vous êtes les grandes gagnantes de ce quizz un peu particulier.


A noter un prix spécial décerné à Boubou car elle a été la seule à avoir compris le sens de ce quizz justement. A vrai dire, je vous demandais les acteurs de chaque extrait et non le casting de chaque film. Si elle passe par là, elle peut donc me demander un sujet de son choix.





samedi 5 juin 2010

En passant

Hum, il me semble que j'ai oublié de poster les résultats du précédent quizz cinéma. Promis, dès que je rentre, Lundi sans doute, je vous donnerais les réponses. Libre à celles qui ont gagné de me donner un peu de pain sur la planche sujet au choix avant que je ferme définitivement ces Intrépides pages. Cela fait quelques temps que j'y pense. Je ne sais pas si la fermeture sera définitive ou juste une parenthèse. Parce qu'il faut bien vous l'avouer, j'ai toujours cette envie d'écrire mais  j'ai singulièrement moins de temps que lorsque je travaillais  - allez comprendre !  Et puis j'ai  quelque chose qui me trotte dans la tête, avec un début et une fin, mais je ne sais pas si cela prendra la forme d'une nouvelle, ou d'un récit plus long. Alors, en passant, je vous souhaite un week end aussi ensoleillé que le mien.

mercredi 28 avril 2010

Joueur, joue encore


Comme me l'a si bien fait remarquer Plume, hier, ça fait un moment que je ne suis pas venue hanter ces lieux (ouuuuuuuuh – imaginez les chaînes qui vont avec mon fantôme écossais). Ce n'est pas tant l'envie qui me manque, c'est juste que je ne sais pas sur quoi écrire... ou si, je commence un bout de quelque chose et puis j'arrête, pas inspirée du tout. Aussi, afin de relancer un peu toussa, je vous propose un quizz d'un genre nouveau : j'ai nommé le quizz-des-répliques-qui-tuent-sa-mère-son-beau-frère-son-cousin-et-même-son-chien ; donc, pour faire court, un quizz ciné dont l'enjeu est un article de ma part, pour le gagnant, sur le sujet de son choix. Pas bête l'Intrépide, non ? Allez-y flattez mon petit égo vacillant qui se demande si elle va refaire une partie de sa garde robe en prévision de ce temps plus clément. Mais foin de ces questions existentielles, expliquons donc les règles : un point pour le nom du film, évidemment, un point pour le réalisateur (non je ne vous demanderais pas l'année de sortie, je ne suis pas si sadique que ça), et un point bonus pour le, ou les acteurs. Si vous parvenez jusque là, c'est badaboum dans le flipper... qui tourne, qui roule, comme chanterait Corinne C. vous avez jusque la fin du mois de mai pour y participer. Les réponses à déposer dans ma boîboîte aux mails virtuelle : ma.vie.intrepide@gmail.com

Mais avant que ne commence la compétition  bataille, quelques nouvelles :

Enzo est de plus en plus sociable ; il a tendance à venir me réveiller en me reniflant ou en prenant mes cheveux pour du foin (au choix), d'ailleurs, vu les toilettages qu'il me prodigue constamment, il doit me prendre pour un de ses congénères !


Je suis devenue une Dr-Housophile convaincue, non pas que je l'étais pas un peu auparavant, mais là, non seulement j'ai streamé la saison 5 (étant donné que ma télé m'avait lâchement abandonné)  ; du coup ça m'a donné l'envie de tout revoir depuis le début (vu que j'avais loupé un bon paquet d'épisodes) et d'entamer la saison 6 mais chut, je ne spoilerais rien du tout, nan nan... mais le début est vraiment terrible et le Dr Cuddy va... bon c'est bon, j'arrête là.

J'ai beaucoup fréquenté ma médiathèque ces temps-ci et j'ai repris goût à la lecture, ce qui est un moindre mal pour quelqu'un qui aime autant lire que moi (5 livres par semaine lorsque j'étais étudiante, qui dit mieux ?).

J'écris beaucoup certes... mais surtout des CV et des lettres de motivation, ce qui ôte de toute envie de me plonger dans les méandres de mon bloug et après, comment voulez-vous que je poste un billet ? Ici ou là, j'ai posté quelques mots. D'ailleurs je continue à vous lire et je ne t'oublie pas non plus Camille : tu l'auras ton commentaire long comme mon bras, vu qu'on avait toutes les deux cogité sur le même sujet... tu sais ce qu'on dit des grands esprits....

Il faut surtout bien avouer que j'avais un grand besoin de temps pour moi, de me laisser le temps de vivre, m'énerver, flemmarder, bailler aux corneilles, mettre Internet, MSN de côté.

Alors place au quizz.

Dernier indice : ce sont toutes des répliques de comédies :) (on a de la comédie comédie, comédie romantique ou dramatique)

A vos marques, prêts ? Postez !


Une pas trop dure pour se dérouiller les neurones :


1) - Vous voulez un whisky ?
        - Oui mais deux doigts.
        - Vous voulez pas un whisky d'abord ?
  
(Facile, non ? Elle est devenue classique avec le temps et les multiples rediffusions)

2) - Tiens chérie, c'est pour toi...
        - Oh... une laisse... c'est le chien qui va être content...
        - Non, c'est un collier chérie... Un collier... 
 
 3) - Allô ? 
        - C'est moi, c'est juste pour savoir comment tu vas...
         - Bien, merci. Et toi ça va ?
        - Oui ca va, enfin... J'ai des images assez osées de notre nuit qui me reviennent. Entre nous, il faut reconnaître que tu as des fesses sublimes... 
       - Merci. Je me trouve avec l'ambassadeur du Mexique le secrétaire général d'Amnesty International, et le sous-secrétaire d'état au commerce et à l'industrie et tu es sur haut-parleur. 

 4) Touclean répond à toutes vos exigences en matière d'entretien. Touclean frotte Touclean nettoie, Touclean balaie, Touclean aspire, Touclean cire, Touclean désinfecte.

5) - Alors écoute Victor, tu arrêtes. Tu arrêtes tout de suite. Tu te tais et tu m’écoutes. D’accord ? Alors écoute bien : tes problèmes de boulot, tes problèmes avec ta femme, tes problèmes de fric, tes problèmes en général et en particulier, moi ta mère, je m’en fous comme de l’an quarante, tu m’entends ? Je m’en fous, mais alors je m’en fous, je peux pas te dire à quel point je m’en fous. Je n’en ai vraiment rien, rien, rien à foutre. 

6) - Tes parents doivent être en train de se demander où tu es.

        - Non, non maintenant que j'suis tombée enceinte, qu'est-ce que je pourrais encore faire comme conneries, franchement ?

(ce film est un petit bijou, regardez-le si vous n'en avez pas encore eu l'occasion. Un indice ? C'est un film américain et les acteurs principaux sont des valeurs montantes à Hollywood)

7) - Je suis lui, lui, lui et lui et lui aussi et lui aussi... et je suis lui aussi... et puis lui, lui je veux pas le décevoir. Je suis elle, elle et elle aussi, je suis français, espagnol, anglais, danois, je suis pas un mais plusieurs. Je suis comme l'europe je suis tout ça, je suis un vrai bordel.
 

8) - Salade du chef, s'il vous plaît, mais avec la vinaigrette à part, tarte aux pommes à la mode...

    - Une chef et une pomme à la mode...

    - Mais la tarte tiède, et je ne veux pas la glace par dessus, mettez-la à part. Vous me donnerez framboise au lieu de vanille si vous en avez, sinon pas de glace, juste de la chantilly. Mais je la veux maison, si en bombe, alors laissez... 

9) Spike : Il a comme un drôle de goût, ce yahourt.

      William : C'est pas un yahourt, c'est de la mayonnaise.

      Spike : Ah bon, tu me rassures.


10) - Et pour le traiteur, j'ai pensé qu'on pourrait prendre Lenôtre.

           - Pourquoi pas ? Et qui c'est ?
          - Comment ?

          - Le traiteur, qui c'est ?

         - C'est Lenôtre. Mais si vous préférez prendre le votre...

         - Ah, on peut prendre le votre.

          - Parfait !

          - Alors ? C'est qui ? J'ai compris, vous voulez pas le dire ?




Maintenant, à vous de jouer !