mercredi 8 juillet 2015

En direct du Main Square (ou presque…)


Avec quelques jours de d̩calage horaire, le temps de trier ses photos et se reposer de toute cette ̩nergie accumul̩e РSIC.

Mais plutôt qu’un long discours, quelques photos et des anecdotes :

- Voiture ou train ? Train ou voiture ? Au final, avec tous les aléas et impondérables de notre amie la SNCF la semaine dernière, on opte pour le covoiturage. Sauf que…

- Sauf que le co-voitureur a une vraie « gueule » de serial Killer sur la photo de BlablaCar. Ce que je lui fait remarquer au retour, rassurée de constater qu’il s’agit en fait d’un serial musicien accompagné de sa femme, enceinte jusqu’aux dents (enfin j’exagère), ceci  après de sérieuses discussions musicales dans la voiture. Ouf… j'ai eu chaud.

-  Au bout de  7 longues années de correspondance virtuelle et téléphonique, la rencontre en chair et en os se fait entre votre obligée et Mademoiselle Marine Ette. Enfin surtout en chair pour ma part^^ Mon Dieu, mes joues : on dirait un hamster !

- Deux Veggies contre un omnivore, pas contrariant pour un sou l'omnivore : le match est inégal ! La minorité l’emporte, pour une fois, et nous passons à autre chose. Clin d’Å“il pour toi, Marine.

- Une grosse demie heure d’attente devant la baraque à frites… euh non le mexicain en fait. C’est le temps qu’il nous faudra pour arriver jusqu’au comptoir et choisir de quoi nous restaurer. Enfin choix limité à un seul burrito. Soit.

-  En parlant de burritos  justement, la chance est repartie. Mais est-elle venue vraiment jusqu’à moi, un jour ? Mon burrito se casse la gueule dès que mes quenottes plongent dedans. Je tente bien de rattraper le coup avec mes doigts, aussi inefficaces qu’une fourchette sur un manchot, et ça ne dure qu’un temps. Je laisse tomber après quelques pourparlers avec mon sandwich, tentant vainement de le raisonner, malgré mon estomac qui insiste, tel un gros lourd qui tente de vous draguer après une soirée trop arrosée.

- On continue sur la poisse, ma poisse légendaire, qui me fait une seconde peau comme celle de Catwoman - elle  me poursuit jusqu’à Arras : toilettes sans papier (heureusement que les kleenex existent !), et quand la serrure daigne fermer. Un peu de gymnastique, donc, pour retenir la porte d’une main afin d’éviter de retrouver les fesses à l’air devant un parterre de festivalier(e)s

- Les concerts commencent enfin. Rideau. Energie. Vibration. Musique. Chants et danse. Place aux photos. Les deux Matt assurent comme des Bastard, mais pas que, les musiciens tiennent largement le pavé. Le spectacle est assuré haut la main. VIVE SKIP THE MUSE^^

Epilogue : le lendemain, dur retour à la réalité : après la canicule, la pluie. Que dis-je l’averse bien connue chez les ch’tis. Mon premier dégât des eaux dans ma casa. Arf. Le couloir ressemble à une piscine.

Enfin, je cherche mes lunettes solaires (à ma vue sivouplait) : je les cherche partout, retourne les sacs 36 fois, envoie un SMS à mon co-voitureur, AUKAZOU. Que nenni, point de solaires en vue, sans mauvais jeu de mot. Plus tard, dans la soirée, j’ouvre mon frigo à la recherche de l’inspiration. Et que vois-je : BINGO, mes lunettes avaient été glissées là par des mains innocentes qui ont rangées les courses du sacro-saint marché du Dimanche.



Innocentes, ou simplement tête en l’air… 




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