Avec
quelques jours de décalage horaire, le temps de trier ses photos et
se reposer de toute cette énergie accumulée –
SIC.
Mais
plutôt qu’un long discours, quelques photos et des anecdotes :
-
Voiture ou train ? Train ou voiture ? Au final, avec tous
les aléas et impondérables de notre amie la SNCF la semaine
dernière, on opte pour le covoiturage. Sauf que…
-
Sauf que le co-voitureur a une vraie « gueule »
de serial Killer sur la photo de BlablaCar. Ce que je lui fait
remarquer au retour, rassurée de constater qu’il s’agit en fait
d’un serial musicien accompagné de sa femme, enceinte
jusqu’aux dents (enfin j’exagère), ceci après de
sérieuses discussions musicales dans la voiture. Ouf… j'ai eu
chaud.
-
Au bout de 7 longues années de correspondance virtuelle
et téléphonique, la rencontre en chair et en os se fait entre votre
obligée et Mademoiselle Marine Ette. Enfin surtout en chair pour ma
part^^ Mon Dieu, mes joues : on dirait un hamster !
-
Deux Veggies contre un omnivore, pas contrariant pour un sou
l'omnivore : le match est inégal ! La minorité l’emporte,
pour une fois, et nous passons à autre chose. Clin d’œil pour
toi, Marine.
-
Une grosse demie heure d’attente devant la baraque à frites… euh
non le mexicain en fait. C’est le temps qu’il nous faudra pour
arriver jusqu’au comptoir et choisir de quoi nous restaurer. Enfin
choix limité à un seul burrito. Soit.
-
En parlant de burritos justement, la chance est
repartie. Mais est-elle venue vraiment jusqu’à moi, un jour ?
Mon burrito se casse la gueule dès que mes quenottes plongent
dedans. Je tente bien de rattraper le coup avec mes doigts, aussi
inefficaces qu’une fourchette sur un manchot, et ça ne dure qu’un
temps. Je laisse tomber après quelques pourparlers avec mon
sandwich, tentant vainement de le raisonner, malgré mon estomac qui insiste, tel un gros lourd qui tente de vous draguer après une soirée trop arrosée.
- On continue sur la poisse, ma poisse légendaire, qui me fait
une seconde peau comme celle de Catwoman - elle me poursuit
jusqu’à Arras : toilettes sans papier (heureusement que les kleenex existent !), et quand la serrure daigne fermer.
Un peu de gymnastique, donc, pour retenir la porte d’une main afin
d’éviter de retrouver les fesses à l’air devant un parterre de
festivalier(e)s
- Les concerts commencent
enfin. Rideau. Energie. Vibration. Musique. Chants et danse. Place
aux photos. Les deux Matt assurent comme des Bastard, mais pas
que, les musiciens tiennent largement le pavé. Le spectacle est
assuré haut la main. VIVE SKIP THE MUSE^^
Epilogue :
le lendemain, dur retour à la réalité : après la canicule,
la pluie. Que dis-je l’averse bien connue chez les ch’tis.
Mon premier dégât des eaux dans ma casa. Arf. Le couloir
ressemble à une piscine.
Enfin,
je cherche mes lunettes solaires (à ma vue sivouplait) :
je les cherche partout, retourne les sacs 36 fois, envoie un SMS à
mon co-voitureur, AUKAZOU. Que nenni, point de solaires
en vue, sans mauvais jeu de mot. Plus tard, dans la soirée, j’ouvre
mon frigo à la recherche de l’inspiration. Et que vois-je :
BINGO, mes lunettes avaient été glissées là par des mains
innocentes qui ont rangées les courses du sacro-saint marché du
Dimanche.
Innocentes,
ou simplement tête en l’air…
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