Parce que, de toutes façons, c'est le propre de l'être humain de continuer à se questionner. Dont un nouveau chapitre, et toujours entre futilité et gravité :
- La minute de silence dure t-elle vraiment le temps imparti, soit 60 secondes ? Et d'ailleurs, 60 secondes suffisent-elle vraiment à honorer la mémoire de ceux qui sont partis ?
- La minute de silence dure t-elle vraiment le temps imparti, soit 60 secondes ? Et d'ailleurs, 60 secondes suffisent-elle vraiment à honorer la mémoire de ceux qui sont partis ?
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En parlant de temps, combien de temps doit-on attendre avant d’avoir
une certaine légitimité ? Combien de temps peut-on attendre pour se sentir
appartenir véritablement à un corps de métier, à une entreprise... à un pays, une nation ? Qu'est-ce qui définit cette amour pour la patrie où l'on nait, où l'on est, où l'on meurt ?
Et puis, moins sérieusement:
Et puis, moins sérieusement:
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L’adage dit
« qui marche du pied gauche sur une crotte de chien aura
du bonheur ».
Qu'en est-il de la roue d’un vélo ? Qu'en est-il quand son
vélo roule sur une crotte de chien de la roue avant ?
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Quel temps peut-on raisonnablement attendre avant de raccrocher en
jurant tous les saints du paradis, quand une voix désincarnée nous
demande justement de ne pas raccrocher au bout de la ligne ? Ah
vive les plateformes des horizons lointains… Seul le degré de
patience est à même de répondre à cette question. Moi je n’y
arrive pas toujours.
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En parlant de raccrocher. A quel moment doit-on raccrocher ses
illusions aux vestiaires comme d’autres posent leur vestes sur les
porte-manteaux ? Quand doit enterrer ses sentiments au plus
profond de son être ? Quand doit-on exactement s’arrêter
d’espérer ?
Si
vous avez des réponses, je suis preneuse.
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