Nous voilà revenus en avril, et je ne me découvre pas d'un fil, mais je reprends le fil de ce qui reste l'une de mes plus grandes passions ici-bas : écrire. Ecrire et noircir le papier de mes pensées et de mes histoires à 4 sous sans queue ni tête. Ecrire pour décrire et mettre à bas les maux. Mettre un mot sur les maux. Je suis et resterai une indécrottable amoureuse de la littérature. Sache que je ne me détourne pas de toi, je prends juste des pauses. Durant ce temps où je n'étais pas ici, je déposais des photos sur mon Insta, témoignant de ce je vois au travers de mes pérégrinations dans la ville. Une autre façon de voir ; une autre façon de témoigner.
Mais je reviendrais toujours vers toi. Nous sommes liées. C'est un fait que je ne remettrais jamais en cause.
L'envie d'écrire me reprend comme cette petite vague qui devient un tsunami. Confusément, il me manquera toujours une pièce dans mon puzzle si je cesse d'alimenter mon imaginaire. Certes ces derniers mois, mon petit cahier noir ne me quittait pas. Par envies ou besoins - va savoir, je me laissais emporter par ma frénésie.
Tel un ours mal léché au sortir de l'hiver, je sors de mon hibernation littéraire. ll était temps ; il est temps. Je sors de ma caverne pour te livrer mes anecdotes, mes récits ubuesques et mes sombres pensées, toi lecteur qui s'égare ici.
Le rideau se lève. Les trois coups sont annoncés.
Les acteurs se mettent en place pour jouer la pièce.
On n'attend plus que l'auteur.
Bientôt j'ai un demi-siècle.
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